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Paroles du Guérisseur

paru à Noël 1950.


Quatre mois après le « Journal d’un guérisseur », paraissent les « Paroles du Guérisseur ». Autant le premier ouvrage conduit le lecteur, par la voie de la sensibilité, à une appréhension plus tangible de la formation de son âme et de la vie, autant le deuxième fait appel à sa raison et à son intelligence pour l’orienter vers l’Essentiel.

Toujours, au cours des âges, furent présentées ces deux voies à l’humanité car nécessité est de comprendre, de savoir, pour atteindre à l’Amour…

Il est écrit dans l’Avant-propos :

             « Ami lecteur, je ne te demande ni foi, ni crédulité, ni complaisance. Aucune complaisance. Je n’espère de toi qu’attention réfléchie. »

Au fil des pages, le lecteur fait l’apprentissage de l’intelligence du cœur par laquelle il différencie clairement la voie des impulsions de celle de la liberté. Celle-ci n’est effectivement véritable que fondée sur la connaissance, par-delà les préjugés et les croyances.

Dans une vaste synthèse, le livre explique l’évolution des civilisations au rythme de souffrances, guerres, traditions et peurs, des premiers âges jusqu’aux civilisations actuelles. Il montre comment l’homme s’est égaré, malgré les inspirations reçues, au point non seulement de susciter des conditions inhumaines d’existences, mais aussi de scléroser ses propres capacités d’épanouissement en la Vie.

                      Cet ouvrage permet donc au lecteur de comprendre que nos comportements, nos attitudes, relatifs au sens de notre existence, peuvent être facteurs de souffrances comme de bonheur potentiel. Il y est montré que la science, source merveilleuse de bienfaits, peut se retourner contre l’homme quand celui-ci se détourne de “la connaissance de soi” et de Qui est à l’origine de son existence.

                      Il est notamment écrit que le corps est la matrice de l’âme… Ce corps, si précieux non seulement pour notre santé mais aussi pour nos pensées, ne peut correctement fonctionner que s’il est entretenu avec soin et selon les lois de sa création. Deux chapitres exposent les principes d’une nourriture saine et équilibrée, pointant également les pratiques et les contaminants à éviter.

L’alcool et le tabac, pour ne citer que ces deux exemples, qui tuent à eux seuls près de 100 000 personnes tous les ans en France, étaient déjà présentés comme « la cause de dérèglement cellulaire que l’on nomme cancer », dans ces « Paroles » dès 1950…

Expliquant comment les fausses nourritures ont tissé un écran mortel entre l’homme et l’Esprit, l’auteur de « Paroles » montre combien la liberté de choix a fini par s’enliser dans des traditions stériles.

L’être, qu’il soit nommé Nature ou Dieu, prodigue abondamment ses bienfaits à tous. Cependant, Ses lois sont immuables : on ne peut s’en écarter sans provoquer des disharmonies, des conséquences néfastes, qui sont autant d’avertissements préalables pour que l’homme égaré puisse reprendre la bonne voie. Si l’on s’obstine, c’est la naissance du “mal” sous toutes ses formes : souffrances, maladies, violences, etc…

Si « la Création est un hymne de joie », chacun est mis en garde : « Cette œuvre étant d’Amour, nul ne peut atteindre à Dieu que par lui-même… Nulle puissance ne peut te forcer à vivre Sa Présence… Libre tu es de choisir entre la Vie et son contraire… »

L’ouvrage s’achève, comme à la fin du « Journal d’un guérisseur », avec l’offre du libre choix :

                       « … Tu sais l’Essentiel

                                           et tu sais Tout,

                                                                 je souffle sur ton Aile


                      Et j’ai lâché ta  main.

                                           Bonne chance

                                                                 Mon Ami,

                                                                                       Mon Frère,

                                                                                                            A Dieu. »